Notre Histoire

Trouver un produit sain, agréable et écologique

Izïa arrive bientôt, et je mets tout en oeuvre pour lui offrir les meilleures premières années de sa vie. Allaiter jusqu’à ses 1an, utiliser des couches lavables, lui préparer tous ses repas et lui mettre que des produits sains et naturels sur son corps.
Je veux être une super maman !
C’est ici que les problèmes commencent : Lire les étiquettes, mais quelle horreur !
Opaque. Obscure. Incompréhensible. 
C’est pas mieux pour les produits bio. J’aime pas ça, c’est louche.
Je ne trouve pas mon bonheur, mais je persévère.
Bon, au final, le liniment je vais le faire moi-même, c’est pas super compliqué.
Pour la crème de corps, l’huile de coco c’est parfait et l’odeur, hum j’adore.
Par contre pour les cheveux… J’ai pas envie qu’elle devienne chauve comme son père… Et je ne veux  pas lui mettre des dérivés de pétrole (silicone, plastique, oui oui dans le shampoing il y a ça), des sulfates et autres substances cancérigènes.
Pas sur son petit corps.
Pas sur sa petite tête de blondinette aux yeux bleus.

Merci Popo !

C’est une nuit de plus au boulot, avec PoPo, ma collègue au long cheveux bruns.
On se raconte nos vies. Nos routines capillaires et nos bains d’huile (grand moment de solitude pour nos compagnons…).
Et de notre sex appeal dans ces moment-là.
Puis, elle me dit d’aller voir la vidéo d’une nana sur YouTube, qui explique comment faire son propre shampoing solide.
Alors, autant je n’aime pas faire à manger, faire des produits maisons, je kiffe ma race. J’adore ça.

Le chauffe-bibi de bébé

Voila comment je vais pouvoir enfin l’utiliser celui-là.
Le chauffe-biberon.
Oui oui, j’en ai un alors que j’allaite toujours. Y’a des choses comme ça.
J’ai mon bain-marie miniature à portée de main, hyper pratique à utiliser. Parfait, car je vais le surexploiter.

Moins c’est Plus

En cuisine, j’ai tendance à trop saler, trop poivré, trop épicé…  et à trop, mais vraiment trop cuire.
Bref, pas vraiment un cordon bleu.
J’ai toujours peur que ça manque de quelque chose, et à la fin c’est juste immangeable.
Pour mes premiers shampoings solides, je suis très généreuse en huile. Trop. Du genre où je dois me rincer quatorze fois les cheveux pour enlever la pellicule de gras !
Puis, je commence à améliorer doucement la formule. J’apprends et je comprends de plus en plus de choses. Mes shampoings deviennent meilleurs, mais il y a toujours quelque chose qui ne va pas.
Et je n’arrive pas à savoir quoi.
Les retours de ma famille et mes ami.es :
“ça rend les cheveux secs ton truc”, “ça mousse pas assez”.
Je retourne donc à mes livres, mes formations.
Et là, je découvre un concept qui va va devenir mon slogan : Moins = Plus.
Je change complètement ma formulation.
Et c’est la merd* !

La spirale sans fin

Avant, je devais forcer mes proches pour qu’ils essayent mes shampoings.
Maintenant, c’est eux qui m’en réclament !
Wahoo, je touche vraiment quelque chose là.
Et de déclencher ce genre de réaction me donne une énergie folle ! Voir, même, une ambition…
Je démarre en septembre une formation pour créer une entreprise de fabrication de cosmétique, la loi est très stricte et j’ai besoin d’aide.
Je ferais une meilleure production avec du matériel plus adapté.
Mon petit chauffe-bibi ne suffit plus.
Et puis, je dois proposer un meilleur emballage, 0-déchet évidemment.
Je veux que l’expérience du shampoing solide du Koala soit folle.
Et je découvre l’économie d’échelle.
Je dois faire de grosses commandes de matières premières et d’emballages si je veux m’y retrouver. 
Et, par dessus tout, je dois me trouver un laboratoire pour produire.
Bref, je fais pas ça pour l’argent, mais j’ai besoin d’argent pour faire ça.

Fonctionnaire et fille de fonctionnaire

J’ai enfin mon produit sain, bon et 0-déchet, mais je flippe.
Petit contre-temps au passage à ma folle aventure.
Je sais pas si tu l’as vu passer, mais il y a une pandémie mondiale.
Ah oui, je t’ai pas dit, je suis infirmière en réanimation à l’hôpital d’Albi.
Autant te dire que c’est l’enfer.
J’ai peur de rentrer à la maison et de contaminer ma famille. Effrayante idée.
On décide de rester soudés et d’avancer ensemble.
J’ai toujours ce rêve qui brûle en moi, et ma famille qui me porte et me soutient.
Alors, en rentrant du travail, je me transforme en maman, puis en Koala et parfois en CapOeiriste aussi.
Je ne connais pas ce monde, l’entreprenariat, être à son compte. Je flippe.
Je n’y connais rien, et personne ne me connaît.
Qui voudra de mes shampoings ? Comment je vais les vendre ? Les envoyer ?
Toutes ses peurs m’oppressent, mais je sens au fond de moi que je dois le faire.
Tous les retours que j’ai sont ouf. Je dois y mettre plus d’énergie, plus de temps.
Je dois quitter mon taf, mon poste de titulaire, moi, fille de fonctionnaires, pour qui la sécurité de l’emploi est primordiale.
Mais c’est viscéral !
Je dois être courageuse. Je le fais aussi pour toi ma fille. Je veux être ta super maman.

J’avais vraiment pas prévu d’avoir deux bébés…

Maman épanouie, chef d’entreprise débutante, et ça me plaît!
Quelle fierté d’en être arrivée là !
Maintenant, j’accompagne de plus en plus de personnes comme toi.

Des personne qui veulent des produits sains et épatants, sans compromis.

Je suis persuadée que c’est comme ça qu’on peut changer une habitude.
En la remplaçant pas une autre,  bien plus fun, plus pratique, et plus agréable.
Je vais continuer à donner le meilleur de moi-même.
Et le meilleur reste à venir !

To be continued…

Trouver un produit sain, agréable et écologique

Izïa arrive bientôt, et je mets tout en oeuvre pour lui offrir les meilleures premières années de sa vie.
Allaiter jusqu’à ses 1an, utiliser des couches lavables, lui préparer tous ses repas et ne lui mettre que des produits sains et naturels sur son corps.
Je veux être une super maman !
C’est ici que les problèmes commencent : Lire les étiquettes, mais quelle horreur !
Opaque. Obscure. Incompréhensible.
C’est pas mieux sur les produits bio. J’aime pas ça, c’est louche.
Je ne trouve pas mon bonheur, mais je persévère.
Bon, au final, le liniment je vais le faire moi-même, c’est pas super compliqué.
Pour la crème de corps, l’huile de coco c’est parfait et l’odeur, hum j’adore !
Par contre pour les cheveux… J’ai pas envie qu’elle devienne chauve comme son père…
Et je ne veux  pas lui mettre des dérivés de pétrole (silicone, plastique, oui oui dans le shampoing, il y a ça), des sulfates et autres substances cancérigènes.
Pas sur son petit corps.
Pas sur sa petite tête de blondinette aux yeux bleus.

Merci Popo !

C’est une nuit de plus au boulot, avec PoPo, ma collègue aux longs cheveux bruns.
On se raconte nos vies. Nos routines capillaires et nos bains d’huile (grand moment de solitude pour nos compagnons…).
Et de notre sex appeal dans ces moment-là.
Puis, elle me dit d’aller voir la vidéo d’une nana sur YouTube, qui explique comment faire son propre shampoing solide.
Alors, autant je n’aime pas faire à manger, autant faire mes produits maisons, je kiffe ma race. J’adore ça.

Le chauffe-bibi de bébé

Voila comment je vais pouvoir enfin l’utiliser celui-là.
Le chauffe-biberon.
Oui, oui, j’en ai un alors que j’allaite toujours. Y’a des choses comme ça…
J’ai mon bain-marie miniature à portée de main, hyper pratique à utiliser.
Parfait, car je vais le surexploiter.

Moins c’est Plus

En cuisine, j’ai tendance à trop saler, trop poivré, trop épicé…  et à trop, mais vraiment trop cuire.
Bref, pas vraiment un cordon bleu. 
J’ai toujours peur que ça manque de quelque chose et à la fin c’est juste immangeable.
Pour mes premiers shampoings solides, je suis très généreuse en huile. Trop. Du genre où je dois me rincer quatorze fois les cheveux pour enlever la pellicule de gras !
Puis, je commence à améliorer doucement la formule. J’apprends et je comprends de plus en plus de choses. Mes shampoings deviennent meilleurs, mais il y a toujours quelque chose qui ne va pas.
Et je n’arrive pas à savoir quoi.
Les retours de ma famille et mes ami.es :
“ça rend les cheveux secs ton truc”, “ça mousse pas assez”.
Je retourne donc à mes livres, mes formations.
Et là, je découvre un concept qui va va devenir mon slogan : Moins = Plus.
Je change complètement ma formulation.
Et c’est la merd* !

La spirale sans fin

Avant, je devais forcer mes proches pour qu’ils essayent mes shampoings.
Maintenant, c’est eux qui m’en réclament !
Wahoo, je touche vraiment quelque chose là.
Et de déclencher ce genre de réaction me donne une énergie folle ! Voir, même, une ambition…
Je démarre en septembre une formation pour créer une entreprise de fabrication de cosmétique, la loi est très stricte et j’ai besoin d’aide.
Je ferais une meilleure production avec du matériel plus adapté.
Mon petit chauffe-bibi ne suffit plus.
Et puis, je dois proposer un meilleur emballage, 0-déchet évidemment.
Je veux que l’expérience du shampoing solide du Koala soit folle.
Je suis persuadée que c’est comme ça qu’on peut changer une habitude.
En la remplaçant pas une autre mais bien plus fun, pratique, et agréable.
Et je découvre l’économie d’échelle.
Je dois faire de grosses commandes de matières premières et d’emballages si je veux m’y retrouver. 
Et, par dessus tout, je dois me trouver un laboratoire pour produire.
Bref, je fais pas ça pour l’argent, mais j’ai besoin d’argent pour faire ça.

Fonctionnaire et fille de fonctionnaire

J’ai enfin mon produit sain, bon et 0-déchet mais je flippe.
Petit contre-temps au passage à ma folle aventure.
Je sais pas si tu l’as vu passer mais il y a une pandémie mondiale.
Ah oui, je t’ai pas dit, je suis infirmière en réanimation à l’hôpital d’Albi.
Autant te dire que c’est l’enfer.
J’ai peur de rentrer à la maison et de contaminer ma famille. Effrayante idée.
On décide de rester soudés et d’avancer ensemble.
J’ai toujours ce rêve qui brûle en moi, et ma famille qui me porte et me soutient.
Alors, en rentrant du travail, je me transforme en maman, puis en Koala et parfois en CapOeiriste aussi.
Je ne connais pas ce monde, l’entreprenariat, être à son compte. Je flippe.
Je n’y connais rien, et personne ne me connaît.
Qui voudra de mes shampoings ? Comment je vais les vendre ? Les envoyer ?
Toutes ses peurs m’oppressent, mais je sens au fond de moi que je dois le faire.
Tous les retours que j’ai sont ouf. Je dois y mettre plus d’énergie, plus de temps.
Je dois quitter mon taf, mon poste de titulaire, moi, fille de fonctionnaires, pour qui la sécurité de l’emploi est primordiale.
Mais c’est viscéral !
Je dois être courageuse. Je le fais aussi pour toi ma fille. Je veux être ta super maman.

J’avais vraiment pas prévu d’avoir deux bébés…

Maman épanouie, chef d’entreprise débutante, et ça me plaît!
Quelle fierté d’en être arrivée là !
Maintenant, j’accompagne de plus en plus de personnes comme toi.

Des personne qui veulent des produits sains et épatants, sans compromis.

Je suis persuadée que c’est comme ça qu’on peut changer une habitude.
En la remplaçant pas une autre,  bien plus fun, plus pratique, et plus agréable.
Je vais continuer à donner le meilleur de moi-même.
Et le meilleur reste à venir !

To be continued…